Jeu de mots

Traduttore, Traditore

On dit que traduire c’est trahir. Une traduction n’est jamais parfaite et peut parfois trahir ou déformer la pensée de son auteur. Autant dire, que cette tâche est loin d’être aisée. Chaque langue, chaque mot de chaque langue renvoie à des symboles, à des images culturelles propres au pays où cette langue est usité. Le castillan d’Espagne n’est pas le castillan du Pérou ou de l’Argentine, le portugais du Portugal n’est pas le portugais du Brésil, de même le français de France n’est pas le français Wallon ou Canadien.

Alors s’aventurer à traduire une oeuvre en castillan par un auteur Germanophone, voilà un vrai défi.

Traduire, si ce n’est trahir est en tout cas choisir. Choisir les mots qui renvoient le mieux aux références et aux imageries culturelles d’un pays auquel s’adresse l’oeuvre traduite.

Le titre

Funiño, un outils idéal pour éveiller et développer la créativité et l’intelligence est en cela une tentative. Une tentative pour que le lecteur français puisse découvrir les recherches et les propositions de Horst Wein pour le football de formation dans un contexte hexagonal.

Funiño est la traduction de « Funiño un juego innovador para niños de 7 à 9 años », soit Funiño un jeu novateur pour les enfants de 7 à 9ans.

Voilà un premier choix! Faire disparaitre la référence à l’âge ou l’amplifier tout au long du livre pour les enfants jusqu’ à 11 ans. Dans le livre original, cette référence n’est pas claire, puisqu’ il s’adresse fréquemment aux enfants du primaire. Il faut ajouter à cela qu’en Espagne, les enfants de dernier année de primaire correspondent à nos enfants de 6°. En partant de cette base et même s’il existe un décalage d’années, nous avons choisit d’unifier le discours pour l’ensemble des enfants de cette tranche d’âge (primaire) soit jusqu’à 11 ans.

Le sommaire

Afin de renforcer l’aspect technique du livre, nous avons retravaillé tout le sommaire. Sa précision avait pour but de permettre au lecteur de pouvoir voyager dans les différentes parties du livre, et de retrouver facilement ces dernières. Cet outils était nécessaire notamment pour toute la partie des jeux et des variantes. Comme pour toute la suite, la lisibilité et l’efficacité ont été deux moteurs pour la conception du sommaire.

Prologue

Horst Wein aimait que les livres adressés à la formation des enfants soient remplis de couleurs et d’images. Nous avons fait le choix avec notre graphiste, Eric Rigollaud, de mettre des aplats de couleur en hommage à l’auteur. Ces aplats nous ont permis également de mettre en avant les aphorismes, un style que l’auteur aimait profondément. Le maitre mot de sa méthode est non pas la vitesse mais l’efficacité. Lors de ses conférences, une question revenait souvent :  » C’est mieux 5 passes ou 1 passe ? » La majorité de l’auditoire disait 5 passes. « Non, messieurs si en une passe mon équipe peut marquer le but, faisons-le en une passe ! »

Une phrase incisive qui touche au cerveau l’auditoire et permet à l’éducateur de repenser son action, comme une passe décisive qui traverse le bloc adverse et permet au joueur lancé de finir l’action.

Chapitre 1 : Quel jeu pour développer l’intelligence et la créativité ?

Ce chapitre aurait aussi pu s’appeler : Quel est le bon format de compétition pour initier le développement de l’intelligence et la créativité ?

Ces deux tableaux sont essentiels pour la méthode Funiño. Ils partent d’un constat simple. C’est pour la compétition que l’entrainement se construit, peu importe la méthode utilisée. C’est par la compétition que l’on évalue la performance de l’équipe et des joueurs. Qui pourrait dire le contraire ? La grande contradiction de la formation est bien celle-ci : elle ne peut s’évaluer qu’au travers la compétition. La compétition est en même temps : outils d’évaluation et objectif de formation.

Par conséquent, il est complètement insensé de se refuser à réfléchir sur le format de la compétition, puisqu’elle est le moyen et le but.

Premier point : un 3c3 est autant un jeu réduit qu’un 7c7 ou un 8c8 (pour la france, un des rares pays d’Europe à utiliser ce format de jeu réduit). Dans la version originale, il n’y est pas fait référence au futsal mais au 4c4 avec gardien. En Espagne et plus particulièrement où se trouve le public auquel s’adresse le livre, l’Andalousie, le futsal est très peu joué en salle mais il se pratique plus en extérieur. C’est pourquoi il n’y fait pas référence, mais pour le lecteur français c’était beaucoup plus parlant.

Ce n’est pas parce que ces deux formats sont validés par les fédérations que nous devons nous refuser à y réfléchir. La grande force de la pensée de l’auteur est de s’y être attelé. Cette comparaison l’a renforcé dans ces deux principes fondamentaux et inextricablement noués entre eux : le jeu est le professeur et non l’éducateur et le jeu doit être adapté à l’enfant (capacité motrice, cognitive et relationnelle) et non l’inverse. Enlever l’un des deux principes est la méthode marche sur une jambe et trébuche.

Pour le dire autrement et l’affirmer, Funiño n’est pas un jeu d’entraînement, il est avant tout un format de compétition !

« S’entrainer au football sans jouer, c’est comme apprendre à nager sans être dans l’eau ! » HW

Chaptire 2 : Développer l’intelligence de jeu avec Funiño

Il a fallu plus de vingt ans à l’auteur pour conceptualiser son jeu Funiño et pour réaliser la richesse de son développement. Dans son livre « Le football à la mesure de l’enfant », le jeu existe déjà avec quelques variantes. Un jeu qu’il utilisait déjà dans le hockey sur gazon. 15 ans plus tard, c’est dans le livre Funiño qu’il fait de ce jeu la pierre angulaire de sa méthode pour l’initiation et le développement. Elle est la première marche, elle doit être également le vecteur des suivantes.

« Les règles du jeu sont le meilleur livre de tactique jamais écrit, on y trouve tout ce que l’on peut et ce que l’on ne peut pas faire ! » Juan Manuel Lillo Diez

Le règlement du jeu officiel Funiño propose un éventail d’outils pour le développement de la compréhension du jeu !

  • Enlever un joueur pour l’équipe qui mène de plus de trois buts.
  • Le penalty est une variante de jeu 1c1+2 attaquants +2 défenseurs venant de derrière.
  • L’ensemble de l’équipe est concernée, chaque joueur a un rôle à jouer.
  • L’auto-passe pour les sorties de touche et les six mètres sont des pistes à retenir pour les jeux réduits officialisés par les fédérations, ainsi que les expulsions temporaires …

La compétition fait partie maintenant intégrante de la formation. Lors des festivals, on peut mettre plusieurs variantes ou jeux différents …

Enfin, nous voulions souligner que l’utilisation entièrement accepter aujourd’hui par l’ensemble des acteurs du football des ballons Taille 3 pour les enfants de 8 et 9 ans et de Taille 4 pour les 10 et 11 ans est dû en partie au travail de Horst Wein. Espérons que dans quelques années il nous semblera autant ridicule de faire jouer des enfants de 9 ans et 10 ans sur une moitié de terrain que de les faire jouer avec des ballons Taille 5.

Et d’ailleurs, accepterions-nous de jouer au football sur des terrains et des buts correspondants ?

Chapitre 3 : Jeux préparatoires et correctifs

Arrêtons nous sur deux mots…

EXTREMOS qui a été traduit par ailiers. Comme sa sonorité l’indique, sa traduction littérale est extrêmes. C’est un terme qui n’est pas utilisé dans notre vocabulaire footballistique. Nous avons longtemps hésité avec le mot latéraux qui est souvent attribué au défenseur. Comme dans le jeu en triangle, les joueurs de côté occupent les zones de finitions ou avancés, il nous a semblé plus judicieux et plus parlant d’utiliser ailier. Nous sommes conscients qu’il y a une perte de sens et de richesse avec le mot utilisé dans la version espagnole. Avec le terme extremos, on s’approche d’une notion pour les formats de jeu futur : extérieur. Un notion extérieur/interieur qui deviendra fondamental pour les jeux à venir, dans les jours à venir.

PORTERIAS, sans hésitation nous l’avons traduit par but. Ici, rien de surprenant. Mais, cette aventure aux travers les mots, nous a joué quelques tours et parfois des digressions passionnantes. PORTERIAS ! La ressemblance est frappante et elle nous a conduit à quelques réflexions. Porterias et portes. Pour les éducateurs, le mot porte fait partie également du vocabulaire du football. Par exemple, pour le jeu n°2 Funiño avec 2 larges buts, on se trouve bien devant deux portes. Une porte est un but que l’on traverse en conduite de balle ou en faisant une passe à son coéquipier. En gardant porterias, les hispanophones ont une vision différente du but, peut-être on peut s’amuser à revoir cette tendance du jeu ibérique à vouloir rentrer en conduite de balle dans le but ! D’un autre côté, au niveau de la construction des cadres et des jeux d’entrainement, ils leur étaient plus facile d’imaginer de poser plusieurs « portes » sur le terrain.

… et sur une absence

Dans ce chapitre se dévoile un coup de génie de Horst Wein. Le jeu du 3c0 ! Un jeu où il n’est question que d’espace, de position de corps, de courses, de nombre de touchers de balle, de communication, de précision, d’efficacité… Un jeu qui fascine les enfants car ils sont acteurs des solutions. La progressivité du questionnement est une merveille de processus d’apprentissage. Un jeu qui est aussi une belle initiation au parcours et qui donne à réfléchir pour les éducateurs le sens d’un parcours de passes où tous les joueurs sont concernés, où le jeu sans ballons devient primordial.

« Un homme inintelligent ou simplement lent dans sa compréhension ne deviendra jamais un bon footballeur. » Pierre de Coubertin

Chapitre 4 : Funiño et ses variantes

On se trouve au coeur du livre, au milieu des 7 chapitres. Ici, tout est palpitation ! Cette partie irrigue tout le livre. Ne pas la comprendre, c’est passer à côté de la richesse incroyable du livre. Quels sont ces jeux qui font le lien avec le football de rue d’autrefois ?

Je ne vous cache pas que nous étions impatients de mettre en place, de lancer le premier « ça joue ! ». Il n’y avait plus aucune minute à perdre. 25x30m, les enfants dont on avait la charge à l’époque étaient âgé de 12 ans, soit 600m2 avec 6 joueurs sur le terrain. Autrement dit 100m2 par joueur. Le contexte était simple, on travaillait pour l’avenir, les enfants sont immergés dans une densité équivalente à une équipe qui est confronté à un bloc bas ( 20 joueurs sur 50x40m, soit 100m2). Après les premiers tâtonnements, des effets inattendus commençaient à émerger. Taux de présence proche des 100%. Les enfants venaient en courant pour l’entraînement, certains éducateurs également impatient de connaître les jeux qui étaient au menu de la séance…

Il faut ici insister sur l’essentiel : la joie de jouer. Les sourires refleurissaient dans la pratique. A chaque fin de séance, on avait toujours les mêmes retours « c’est déjà fini ? ». Dans la série de 31 jeux et ses variantes, on retrouve un autre trait de caractère de Horst Wein, JOUEUR ! Les deux buts facilitent la feinte. La feinte qui est avant la passe, le contrôle, le tir, l’élément primordial du jeu. On avait eu la chance lors de nos années universitaires d’avoir rencontrer et sympathiser avec des étudiants allemands et d’être initier à un jeu de carte le SKAT ( mélange de belote et de tarot). Un jeu qui était d’une richesse incroyable. Il se joue à trois, 2c1. Plein de variantes, une des nos préferées : le joueur qui fait le moins de point, gagne ! Les variantes de jeu étaient tel qu’il n’y avait plus de mauvaises mains. On s’est souvent amusé à faire se rapprochement entre le funiño et le Skat !

Chaque jeu, chaque variante pose un nouveau problème à régler au joueur. Funiño avec des passes derrière la ligne de finition (jeu 21), avec les buts positionnés à l’envers, Funiño Rugby (jeu 20), Funiño Diagonale (Jeu 11), celui qui marque continue avec la possession du ballon… Les premières minutes étaient vraiment extraordinaire de confusion. Les enfants s’appercoivent qu’ils font les mauvais choix. Ils regardent, ils commencent à prendre des informations. Puis, ils se mettent à réfléchir sur le jeu, sur les nouvelles règles, on les accompagne dans le questionnement, ils discutent entre eux… Ils deviennent des footballeurs…

« Une série de tests de compétences épars, additionnés, juxtaposés ne constitue ni une formation cohérente et encore moins une formation. » Claude Allègre

Chapitre 5 : Funiño, plus qu’un jeu une méthode

Nous avons pris beaucoup de liberté sur ce chapitre. Nous l’avons créer en y rassemblant des parties qui traitait de l’évaluation, de la promotion, de la programmation, de l’organisation et en fin de la progression. Un chapitre qui présente et explore les différentes façon d’utiliser le format de jeu ( évaluation, séance, programmation, festival interne ou inter-club).

Comme dit ultérieurement, le premier point d’évaluation se fait par l’intermédiaire de la compétition. Il propose une variété des formats et un principe simple: plateau montant-descendant offrant aux enfants de jouer dans des niveaux équivalents.

Le deuxième point la séance : contenu et organisation. Il est important de souligner que Horst Wein traite de la pratique spécifique et de la pratique globale. Cette réflexion sera essentiel pour la mise en place d’un modèle de planification écologique qui prend en compte le développement naturel de l’homme. Enfin, il donne une piste sur l’organisation des séances : ici pentathlon, on peut facilement prolongé avec biathlon, triathlon, tetrathlon…

Toute la partie programmation a été retravaillé pour la présenter sous forme de calendrier, cette forme n’existe dans aucune version. Simple, efficace elle propose un cheminement subtil entre découverte, immersion pas à pas dans des contraintes de jeu de plus en plus serrées : longueur de passe, orientation de corps, course et changement de direction, transition att/deff, précision et intensité.

Pour l’organisation du festival, on remarque un enrichissement de la forme plateau qui propose d’énormes avantages pour tous les acteurs du ballon rond : joueurs, entraineurs, clubs…

La 5ème point présente la transition du funiño au football 7. Une proposition de progression. C’est pourquoi nous avons décider de la garder même si cette progression va jusqu’au football à 7. Nous avons redécoupé les principes de la méthode : pas à pas. Une chose à la fois… On peut résumer un type progressivité en trois temps :

  • enfermer le joueur dans une zone (reconnaissance de la position et de ses fonctions),
  • aucun joueur n’est enfermé mais la zone doit être toujours occupée ( reconnaissance de la zone, perception des rôles de chacun)
  • et enfin jeu ouvert.

C’est un axe de travail passionnant : tous les aspects du jeu peuvent-être construits sous cette forme donnant aux entrainements et à la formation, une cohérence. Fini la foire aux jeux, chaque club doit être en mesure de proposer une progression pas à pas des jeux mis en place de l’école de football jusqu’à la pré-formation et à la formation.

Enfin, sur cette dernière partie, il faut prendre conscience qu’elle ne se fait pas du jour au lendemain, ni en plusieurs mois… Dans cette méthode progressive et adapté aux capacités de l’enfant, le passage du Funiño au football à 7 se fait en 3 ans ! Entre les deux, vous avez une marche le Formiño qui correspond au 5c5 qui correspond U11/U12.

Chapitre 6 : Connaître le joueur, connaître l’enfant

« Les familles, les éducateurs, les entraineurs, les dirigeants sportifs, les responsables fédéraux en particulier, doivent être clairement informés des risques potentiels, à court, moyen ou long terme, susceptibles de compromettre la santé des enfants qui leur sont confiés » Extrait du rapport  » Sur l’entrainement sportif intensif et précoce et ses risques », approuvé à l’unanimité par l’académie nationale de médecine, lors de sa séance du 18 octobre 1983.

On se rapproche de la fin. Le ton devient de plus en plus sérieux. Un chapitre fondamental à l’heure où toutes les craintes du rapport se sont réalisées malgré les appels et les rappels : généralisation de l’ESIP ( Enseignement spécifique et intensif précoce), baby-sport spécifique, monocritère de sélection de l’enfant à l’adulte : résistance à l’intensité…

Les meilleurs avec les meilleurs, coaché par le meilleur entraineur contre les meilleurs qui sont avec les meilleurs… et ainsi de suite de meilleurs en meilleurs pour finir inexorablement par le dicton rendu célèbre dans les années 80 : « Brillant cadet, junior moyen, senior médiocre. » Un dicton qui garde toute sa pertinence car malgré les mêmes effets encore et encore, on se refuse à changer les causes…

Mais voilà l’enfant n’est pas un adulte en miniature, c’est un adulte en devenir où toutes les dimensions du corps et de l’esprit sont en croissance !

Comment cultiver le talent du jeune footballeur ? énonce douze points nécessaires pour le développement du jeune footballeur. Une boussole qui permet aux éducateurs d’organiser des séances et des compétitions en respectant les principes que sont:

  • adapté aux capacité de l’enfant
  • progressif selon la croissance de l’enfant
  • variabilité pour l’éveille et le développement de la créativité et l’intelligence de jeu
  • équité pour les temps de jeu …

L’accent est mis ici sur l’environnement qui doit être mis en place.

« Les exigences des capacités physiques et cognitives du jeune joueur ne doivent jamais être dépassées ! » Horst Wein.

Apprendre à connaître ses joueurs propose une grille d’évaluation sur trois paramètres. Nous l’avons vu précédemment, l’évaluation se fait par l’intermédiaire d’une compétition adaptée à l’enfant, mais il nous manquait la grille d’évaluation qui pose les points à observer. On ne parle plus de technique, athlétique, tactique et mental mais moteur, cognitif et relationnel. Chaque nouvelle caractéristique est enrichi de 4 à 8 points d’observation.

Caractéristiques des enfants/ que doit faire l’éducateur ? Horst Wein souligne ici que l’ensemble des processus d’apprentissage doit être en relation avec l’enfant et ses capacité : forme pédagogique, principe pédagogique, contenu pédagogique… Tout doit être fait sur mesure. Un travail d »orfèvrerie précis et exigent. Une nouvelle voie est donnée : fini la course à l’intensité et à la performance, mais plutôt un chemin à la juste dimension selon les capacités au niveau cognitif, moteur et relationnel.

Les besoins et les droits

Ici, nous soulignons que la méthode Funiño s’inscrit entièrement avec la déclaration des droits de l’enfant de l’Association des Nations Unies/UNESCO.

Chapitre 7 : Les nombreux avantages du funiño

Enfin, une synthèse de tous les avantages et les bénéfices conclut le livre. Une nouvelle fois, l’auteur annonce les bouleversement qu’impliquent la méthode sur l’ensemble des acteurs et des structures. Une méthode global qui bouscule le système dans sa globalité où chaque partie et chaque tout se remet en question, se remet en marche…

Comme il l’a résumé d’une manière magistrale: profitez-en ! Le livre s’ouvre et se ferme sur deux tutoiements.

« Ici, tu trouveras tout le nécessaire pour cultiver de façon optimale le talent des enfants en leur enseignant le long chemin qui leur permettre de gagner le match de leur vie » P7

et

« Maintenant, la balle est dans ton camp !… j’espère qu’elle t’aidera à voir plus clairement le processus enseignement-apprentissage avec les enfants de moins de 11 ans. » P197

L’auteur s’allie à l’ensemble des lecteurs, au cercle des acteurs, à la famille des éducateurs pour la formation et le développement des jeunes footballeurs. Une méthode pour le développement des 3 i ( le « je » de la langue anglaise), une méthode du tu à je, de la personne dans sa globalité et pour sa vie futur : Intégralité, Intégrité et Implication.

Le formateur qui murmurait à l’oreille des éducateurs

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